Canadian Gamblers Go Online en Masse
Les casinos et les bookmakers en ligne sont devenus follement populaires là où les jeux d’argent sont illégaux et où il est impossible d’ouvrir des points terrestres. Au Canada, où traditionnellement seuls les streams en direct sont joués, le domaine des jeux d’argent en ligne a également gagné en popularité ces derniers temps. La principale raison est, bien sûr, le coronavirus : les restrictions dues à la pandémie ont affecté les lieux publics, y compris les casinos. Incapables d’accueillir des visiteurs, les administrations ont commencé à accorder plus d’attention au segment en ligne, et les utilisateurs eux-mêmes font de même.
Dans le même temps, le coronavirus contribue indirectement à accroître l’intérêt pour les jeux d’argent. Les gens ne vont plus dans les casinos, mais ils ont plus de temps libre à passer quelque part. Quelqu’un s’est mis à regarder encore plus de matchs de hockey ou d’autres sports et tente de tirer profit de sa compréhension de la situation. Certaines personnes trouvent plus facile de faire tourner des machines à sous virtuelles pour vaincre l’ennui.
Pourquoi les joueurs ne reviennent-ils pas dans les établissements réels ?
Il est impossible de l’affirmer avec une certitude absolue, mais il existe un risque de « non-retour ». Il y a plusieurs raisons à cela :
- les jeux avec un croupier en direct donnent au joueur un excellent sentiment de réalisme, et un beau présentateur peut paraître moins banal qu’un croupier habituel dans un établissement de sa campagne natale;
- Les sites internationaux offrent parfois des gains beaucoup plus importants que le casino en ligne le plus proche – notamment les machines à sous avec des jackpots progressifs;
- l’habitude fait que les gens passent leur temps comme avant, d’autant plus que de nombreux établissements de jeu « réels » pourraient tout simplement ne pas être en mesure de résister à la pandémie en cours et fermer complètement;
L’industrie du jeu canadienne ne sera plus jamais la même. Elle ne disparaîtra certainement pas, mais sa transition vers les mondes numériques va désormais inévitablement s’accélérer.