The War Continues in Australia Against Illegal Online Casinos
Les jeux d’argent en ligne ressemblent à n’importe quelle plateforme dans le monde qui peut théoriquement considérer tous les joueurs du monde comme des clients potentiels car Internet fonctionne de la même manière partout. Cependant, dans les États ayant les politiques de jeu les plus développées, il existe un marché réglementé où les plateformes offshore ne sont pas autorisées sans licence et sans une volonté claire de coopérer. Parmi ces juridictions strictes, on trouve l’Australie qui, ces dernières années, a pris en compte de manière approfondie les jeux d’argent offshore sur son territoire.
Ainsi, début septembre, le régulateur australien ACMA a exigé des fournisseurs d’accès à Internet qu’ils ferment l’accès à cinq sites opérant sans aucune autorisation de l’Australie. Il s’agit de Jackpot Jill, National Casino, Grand Rush, Koala Royal et Juicy Stakes. Comme vous pouvez le constater, certains établissements reprennent même un thème purement australien dans leur nom, ce qui ne les rend pas pour autant légaux. Selon le régulateur, il n’a même pas eu à chercher les contrevenants – les utilisateurs eux-mêmes se sont plaints des bureaux, n’étant pas habitués à l’absence d’un service complet prévu par la loi.
La principale tâche du régulateur est, bien entendu, de remplir le budget de l’État et de ne pas laisser les flux financiers sans imposition. Cependant, d’autres récits ont été préparés pour le public : Les Australiens sont invités à ne pas jouer dans des bureaux illégaux car, dans ces bureaux, le client n’est nullement protégé des empiètements frauduleux de l’administration. En principe, cela est également vrai.
L’ACMA lutte désespérément contre les jeux d’argent illégaux depuis plusieurs années. Pendant cette période, 140 sites ont volontairement quitté le marché australien, et près de trois cents ont été bloqués.